Biographie

Je m’appelle Delphine Desavoye. Je vais vous présenter mon parcours afin que vous puissiez comprendre qui je suis et pourquoi j’ai décidé de dédier ma vie aux autres.
Née d’un mariage mixte, j’ai baigné dans la pluriculturalité toute ma vie.
De là est né un intérêt pour tout, pour chaque individu qui peuple cette planète et pour les mondes invisibles.

Mon père, né en Algérie, rêvait d’Amérique, de cornemuse, de voyage. Sans limites dans ses rêves, il les réalisa un à un en devenant professeur d’anglais et de cornemuse, ainsi qu’en nouant des amitiés durables avec plusieurs familles aux États-Unis. Baignée dans cet esprit, je n’ai jamais mis de limites à ma vie, à mes envies, à mes rêves. La famille paternelle est dotée d’une grande élévation spirituelle : je l’ai toujours vue prier, utiliser le pendule, parler aux esprits, aux ancêtres…
Ma mère, quant à elle, Bretonne d’origine, est devenue infirmière et s’est toujours mise au service des autres. Elle s’est toujours attachée à prendre soin de chacun au travail comme dans son entourage. Elle m’a donné cette bonté, cette générosité envers mon prochain. Elle m’a baignée dans cette culture de guérisseuse dès mon plus jeune âge, car sa famille en comptait.

Ces deux héritages ont fait de moi une rêveuse attentive. Débordante d’énergie et de générosité, mon enfance a été difficile émotionnellement. En effet, lorsque je suis sortie de mon cocon familial et lorsque les relations sociales sont entrées dans ma vie, les déceptions ont commencé. Je ne comprenais pas le comportement des gens ; leurs moqueries, leur violence, leur égoïsme. Profondément blessée, j’ai préféré m’isoler pendant des années afin de me protéger. C’est comme cela que j’ai commencé à développer mes sens. Je passais énormément de temps avec la nature, à l’écouter, à capter ses énergies, ses messages. Tous les animaux venaient vers moi, car je leur envoyais des énergies et des messages sur une autre fréquence que celle que les humains utilisent. Je pensais que tout le monde le faisait à cette époque et que tout le monde pouvait ressentir ce que je ressentais. Ce n’est que petit à petit, à force de parler de certaines petites choses, de certains ressentis, de certaines synchronicités que j’observais, que je me suis rendu compte que j’étais un cas isolé. Lorsque je parlais de certains sujets, j’entendais souvent les autres me répondre « tu es folle ! », « t’es pas nette ! »… Le dialogue a donc rapidement été rompu et je n’en ai jamais reparlé à quiconque avant mes 19 ans.

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J’ai grandi en pleine campagne et mon quotidien était rythmé par la vie en communion avec la nature. Le potager et les animaux étaient mes plus grands intérêts dès l’enfance. J’entendais déjà parler tout ce monde invisible, mais que le commun des mortels n’entend souvent plus.

Puis, ce don s’est étendu. Chaque fois que j’essayais une nouvelle discipline ou activité, un flux de connaissances m’arrivait et tout était assez simple. Je retenais vite et aisément les cours à l’école, ainsi que les cours de musique, de sport ou de dessin. Je recevais petit à petit un flux d’informations et j’arrivais parfois à connaître le cours, l’information, avant qu’on ne me l’apprenne. À cette époque, je n’étais absolument pas consciente de ce qu’il se passait. Je trouvais juste pratique d’exceller dans toutes les disciplines. Aujourd’hui, le recul m’a permis de comprendre que je me connectais « aux mémoires akashiques » ou « au Saint-Esprit » sans le savoir ; et sans aucune maîtrise. J’entends par « mémoires akashiques » ou « Saint-Esprit » une sorte de pellicule cosmique qui noterait tous les éléments composant la vie depuis la création, au sein de laquelle toutes les mémoires de tout seraient enregistrées, à laquelle le monde entier serait connecté ; chaque élément : terre, air, feu, eau, éther, minéral, végétal, animal, humain, ange, archange, esprit de la nature, entité, cosmos…

Toute ma scolarité a été agrémentée de beaucoup de loisirs, de nombreux voyages en Amérique du Nord et en Europe. J’ai développé un goût prononcé pour l’entraide. Je m’appliquais à aimer tout le monde, à les aider, à les respecter. Je m’investissais considérablement dans le bien-être de chacun, me transformant en sauveuse après avoir tant souffert du comportement des autres pendant mon enfance. J’ai tiré parti de ma sensibilité : plutôt que de souffrir, de ressentir tout ce mal, je ressentais leurs besoins et leurs détresses, faisant tout pour y répondre positivement.

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À ma majorité, je suis partie vivre à Rennes, démarrant des études de langues, littérature et civilisation étrangères. Ce cursus pour devenir professeur d’anglais me tenait à cœur. Fervente défenseuse de la vie et de la nature, il me semblait en effet logique que pour sauver la nature et l’humanité, il fallait changer les mentalités. Pour moi, cela passait par l’éducation. Ce cursus très enrichissant m’a réconcilié avec la religion grâce au cours de l’histoire des religions, qui m’a ouvert l’esprit sur un tout autre monde. Déjà très proche de la philosophie bouddhiste à cette époque, je me suis appliquée à développer mes idéologies en suivant cette direction. Je trouve que cela fait sens d’être adepte d’une croyance qui repose sur l’équilibre entre l’esprit et le corps, la féminité et la masculinité de chacun, dans le respect et l’amour universel. Ce cursus m’a aussi permis d’étudier plus en profondeur la sociologie et la psychologie de l’enfance à l’adolescence ; deux disciplines qui m’ont passionnée et qui m’ont appris beaucoup pour aider mon prochain.

C’est à cette époque-là que j’ai commencé à développer et pratiquer le magnétisme. En effet, le cercle de personnes avec lequel j’évoluais m’a permis d’être moi-même et de déployer ma toute-puissance.
Je me suis fait un ami qui a joué un rôle clé. Ensemble, nous passions du temps à partager des flux énergétiques. C’est alors que j’ai compris que je n’étais pas seule à avoir ce pouvoir. Aujourd’hui, je le remercie du fond de mon cœur.
Après l’université, j’ai rejoint mon mari pour vivre quelques années en Sarthe, allant de poste en poste sans vraiment m’épanouir dans une vie en société classique. De retour en Loire-Atlantique, j’ai décidé de tout plaquer et de recommencer sur un nouveau chemin. J’ai repris mes études et j’ai passé 4 ans à apprendre l’ébénisterie. Je trouvais enfin le bon équilibre entre vie manuelle et vie intellectuelle. Mais plus le temps passait, plus mon aspiration à une vie différente, dans la nature, à vivre en autonomie m’appelait. Je pense que c’est pour cela que la vie m’a mené à un accident de travail, me forçant à changer mes plans.
Un jour, alors que nous ne cherchions plus vraiment la propriété de nos rêves, ce bois où nous vivons actuellement nous a trouvés. Un projet qui paraissait autrefois impossible a bien vu le jour en suivant un chemin jonché de synchronicités, dans la fluidité et la facilité.

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Aujourd’hui, je réalise mon rêve. Je vis en harmonie avec la nature dans un bois, protégeant un bout de nature et produisant le plus possible nos ressources afin d’impacter la planète au minimum. Je continue à aider les gens du mieux que je peux avec le magnétisme curatif et j’ai développé de nouvelles capacités afin de répondre au mieux aux besoins de tous.

J’ai commencé par suivre une formation en médiumnité, puis en chamanisme avec Florence Réale de L’Onde Cristalline. J’ai appris à capter clairement les messages des mondes invisibles et des guides de lumière, ainsi qu’à écouter l’âme et à maîtriser l’art du pendule, de la cartomancie, de la lithothérapie, de l’écriture intuitive…
Mon chemin m’amène aujourd’hui à proposer mon aide aux personnes qui désirent se reconnecter à leur âme et écouter leur message pour pouvoir guérir les blessures de leur âme et donc de leur corps afin qu’ils atteignent la vie de leur rêve dans l’harmonie et l’abondance.
Alors, je remercie tous ceux qui se sont trouvés sur mon chemin, car c’est grâce à eux que j’en suis là aujourd’hui.

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